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Médecine

SIDA & POPPERS: L’EPIDEMIE DU MENSONGE

A l'origine, les poppers étaient un médicament réservé aux personnes victimes de troubles resporatoires. Leurs effets euphorisant et vaso-dilatateur furentt ensuite exploités pour faciliter les pratiques homosexuelles dans la seconde partie des seventies. Généralement inhalées, elles furent directement responsables du sarcome de Kaposi, principale maladie associée au sida dont furent victimes les premiers malades qualifiés "sida".

Il s'avère que les drogues ayant pour origine l'opium (morphine, héroïne) et la coca (cocaïne), ont aussi des effets immuno-suppressifs connus, et qu'elles participèrent à la seconde maladie qualifiée sida : la pneumocistis carinii. 

Il semble aujourd'hui évident que la quasi totalité des premiers malades étiquetés sida étaient des toxicomanes homosexuels - l'homosexualité étant une cause indirecte de la chute de leur système immunitaire. 

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HOUSE OF NUMBERS, un film décapant sur le sida

HouseOfNumbersLight

Basé sur des interviews des défenseurs de l'hypothèse VIH dans le syndrome d'immunodéficience acquise, et des défenseurs d'hypothèses mettant en cause la toxicité des drogues récréatives et des traitements anti-rétroviraux, "House of Numbers" est un film incontournable pour ceux qui veulent se faire une idée des différentes causes de la maladie sans subir le lavage de cerveau des masses-médias. Le plus lamentable  dérapage médico-scientifique du 20ème siècle. 

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SIDAGATE : LES FEMMES ET LES ENFANTS D’ABORD

Silence, on tue ! En se basant sur l’hypothèse – jamais formellement démontrée – que le sida est une maladie infectieuse causée par un virus transmissible, la médecine officielle a poussé des millions de séropositifs à consommer de l’AZT, un médicament antiviral aux effroyables effets toxiques. Un mal pour un bien ? C’est ce que laissent penser des statistiques de survie encourageantes. Mais ce qu’on ne vous dit pas, c’est que les doses de ce redoutable poison ont été considérablement réduites avec l’introduction des trithérapies.  A elle seule, la moindre toxicité du cocktail pourrait expliquer la baisse de la mortalité du sida. Il n’empêche que les traitements antiviraux demeurent terriblement nocifs pour des personnes en bonne santé. Il est donc scandaleux que cette même médecine n’hésite pas à les préconiser pour les femmes enceintes et pour leurs nouveau-nés. Pire : elle traite en criminelles et envoie en prison celles qui décident de ne pas les prendre ou de ne pas en donner à leurs nourrissons. Dans certains pays, la justice va même jusqu’à condamner celles qui allaitent leurs bébés ! Or, les preuves de la transmission mère-enfant et du rôle vectoriel du lait maternel n’ont jamais été scientifiquement établies, sinon sur base d’études faussées ou falsifiées.

 

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« JE NE ME TAIRAI PAS » (I won’t go quietly),
un film d’Anne Sono

Le film présente des cas de femmes, victimes de la dictature médicale du sida.

 

Jaquette Film

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Quand la science agresse la mère et l’enfant

« Avec la transformation du médecin artisan exerçant son habileté sur des individus connus personnellement, en médecin technicien appliquant des règles scientifiques à des catégories de malades, les malfaçons ont acquis un nouveau statut, anonyme et presque respectable. »

Yvan Illich, Némésis Médicale – L’expropriation de la santé (1975)

 

Au 21ème siècle, environ de 29 000 enfants de moins de 5 ans meurent chaque jour (plus de 10 millions en 2012). Le sida n’est pas l’une des 6 grandes causes de mortalité infantile – diarrhées, paludisme, infections néonatales, pneumonie, accouchement prématuré et manque d’oxygène à la naissance. Pourtant, la lutte contre le sida a dépassé les 16 milliards de dollars en 2011 (source ONUSIDA). Le chiffre est scandaleusement disproportionné, sachant que la malnutrition et l’eau insalubre interviennent dans plus de la moitié des cas de morts infantiles dans les populations du Sud. Comment expliquer cet incroyable non-sens ?

Depuis les années 90, ces milliards d’investissements pour vaincre le sida ont servi à asseoir des mensonges assenés à coût de clips télévisés, d’études aux résultats plus que douteux, d’interprétations de chiffres, de morts à sensation telles que celles de Freddy Mercury et Kimberley Bergalis, une star et une inconnue. Mais ces milliards ont surtout servi à développer et promouvoir des thérapies qui enrichissent l’industrie pharmaceutique, détruisent la vie de millions de personnes en bonne santé dans le monde moderne, après avoir été testées sur des millions de cobayes humains dans l’autre monde, celui des déshérités. Depuis la fin des années 90, ce n’est pas le sida qui s’attaque à la femme, la mère et son bébé, mais une science médicale déficitaire qui a perdu le sens de sa mission.

 

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Femme et santé : le pouvoir de choisir

Nous voulons protéger la maman et l'enfant d'excès médicaux connus et moins connus

Faisant suite à la réunion de Vers (Pont du Gard), au cours de laquelle des scientifiques, des journalistes et des patients se sont réunis pendant l'été 2012, plusieurs d'entre eux ont voulu se retrouver autour d'un constat directement lié à la santé publique, plus particulièrement en relation avec la procréation, la maternité et la petite enfance:

 

au 21ème siècle, la femme, la mère, son corps, les bébés et les enfants en bas âge,

sont victimes d'agressions et d'un harcèlement médico-pharmaceutique sans précédent.

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ENQUÊTE SUR LE SIDA : LES VÉRITÉS MUSELÉES

Choqué par les révélations faites par le Time de Londres, il m'a fallu deux ans de travail pour rassembler les informations contenues dans cet ouvrage. 

 

Depuis 1996, peu de choses ont changé. Et quand les grands prêtres du VIH affirment que maintenant, les manquements d'hier ont été corrigés, dans la réalité, rien n'a changé depuis la publication de cet ouvrage, ni depuis 1984 (date de la découverte d'un virus bien étrange). 

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