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Femme et santé : le pouvoir de choisir

Nous voulons protéger la mère et l'enfant d'excès médicaux connus et moins connus

Faisant suite à la réunion de Vers (Pont du Gard), au cours de laquelle des scientifiques, des journalistes et des patients se sont réunis pendant l'été 2012, plusieurs d'entre eux ont voulu se retrouver autour d'un constat directement lié à la santé publique, plus particulièrement en relation avec la procréation, la maternité et la petite enfance:

 

au 21ème siècle, la femme, la mère, son corps, les bébés et les enfants en bas âge,

sont victimes d'agressions et d'un harcèlement médico-pharmaceutique sans précédent.

Constat et mission

Suite aux révélations des masses médias et du monde alternatif concernant des scandales médicaux touchant directement les femmes, en relation avec la conception, la grossesse, la maternité et la petite enfance, de plus en plus de parents s'interrogent sur les motivations et les réalités de la médecine et de la pharmacie modernes. 

 

Nous sommes contraints de constater que si le pouvoir médico-pharmaceutique déraille, il n'existe pas d'autorité indépendante capable de protéger la société civile de toutes sortes d'excès. Des voix de plus en nombreuses s'élevent pour protester contre cet état de fait, cette auto-régulation (ou dérégulation) de ceux qui prétendent vendre la santé. 

 

Le groupe "Femme et santé : le pouvoir de choisir", propose de relayer toutes informations qui permettront à chacun de se rapproprier la responsabilité de sa santé, selon l'expression d'Ivan Illich (Némésis Mécidale, l'expropriation de la santé). Dans l'esprit de la démocratie, conformément à l'article du code de la santé publique sur le consentement éclairé du patient (qui existe dans toutes les constitutions modernes), des initiatives citoyennes s'avèrent indispensables pour faire face à ces nouvelles dictatures et protectionismes corporatifs ennemis du genre humain. Les affaires récentes démontrent que la médecine et la pharmacie sont directement concernées par

  1. des suspicions d'erreurs de diagnostics ou de prescriptions médica-menteuses inapropriées,
  2. la multiplication d'effets secondaires indésirables,
  3. les maladies nosocomiales.

 

 

Voici une liste non-exhaustive des scandales les plus connus :

  • l'une des plus anciennes affaires remonte aux fièvres puerpérales, quand la santé publique poussa puis imposa (par la peur) aux femmes d'accoucher à l'hôpital

  • le second cas fut le thalidomide 

  • plus récemment, nous avons tous entendu parler du Médiator, de Diane 35, des prothèses mammaires PIP,

  • puis des dangers des pillules contraceptives de génération 3 et 4

  • les vaccinations commencent dès la petite enfance et se poursuivent jusqu'à l'âge adulte. Quelle est leur relation avec l'autisme (1 enfant sur 100) et d'autres pathologies de la petite enfance, dont les séquelles  peuvent être irréversibles? Le vaccin contre le cancer du col de l'utérus (Gardasil) pour les jeunes adolescentes (l'affaire scandaleuse du Gardasil) fait l'objet de plaintes croissantes

  • encourager les jeunes mamans à donner des aliments industriels aux bébés de préférence au lait maternel (pourtant une recommandation de l'OMS)

  • la perte des droits parentaux pouvant aller jusqu'au kidnapping d'enfants par les services médicaux, avec le soutien de la justice publique, quand les parents font le choix responsable de protéger leurs enfants de médicaments aux effets secondaires dangereux avérés

  • le harcèlement exercé sur les femmes enceintes annoncées séropositives, pour qu'elles ingurgitent des médicaments aux effets secondaires catastrophiques pour elles et leurs bébés, puis à imposer que les bébés prennent des médicaments  dès leur naissance, sous peine de retrait des droits parentaux

  • Ajoutons à cette liste non-exhaustive les abus liés aux dépistages dits préventifs de certains cancers, dont les mammographies.

 

De nombreux auteurs, ouvrages, travaux et articles ont été publiés dans des magazines scientifiques et grand public sur ces sujets. Ils entrent dans la catégorie de la iatrogénèse. Il existe également de nombreux sites internet destinés à informer le public. 

 

 

 

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